Après 4 albums appréciés d’un large public, Karim Baggili nous en propose un cinquième dont l’aboutissement est à présent tout proche.
Si ce futur opus est encore un peu mystérieux, un coin du voile se lève.
Là où « Kali City » était, au travers du oud, un vrai retour aux sources, les nouvelles compositions traduisent le besoin de réintégrer des morceaux de guitare techniquement élaborés, avec des mélodies toujours profondes et belles.
Mélange de groove, d’électro et de classique qu’on lui connaît, illustré par du crunchy oud et de la guitare sur-arpégée, l’univers musical de cet album, original avant tout, est étonnant et s’inscrit pourtant, pour l’artiste, dans une suite logique des choses.
Il n’y a que Karim Baggili pour inventer et faire sonner de l’« Arabic underground Flamenco music » avec autant de classe et de singularité.
Sur scène, l’artiste livre, en symbiose avec des musiciens de talent, des concerts inoubliables et chaleureux, fidèle à ses habitudes.
Rendez-vous est fixé à l’automne 2016.